La sorcière dans la forêt de Saou et six autres récits.

Sept récits basés sur des faits réels tirés des archives des 17e, 18e et 19e siècles de quelques communes.

Brève description :
« La sorcière dans la forêt de Saou » décrit l’histoire tragique de Marguerite Chirol en 1751.

« Claude de la Pascale et le loup » est le récit d’un petit garçon, Claude Guinard, du village de Vesc et d’un loup en 1697.

« Jean Combe, meunier à Crupies, un conte gris » En 1704, son fils Estienne tombe à l’eau dans le canal du moulin de Crupies et se noie malheureusement « sans qu’on aye le temps de lui donner secours. »

Dans « Le dialogue de la taverne » quelques habitants de Vesc discutent d’un meurtre qui vient de se produire en 1711 sur le territoire de la commune. Un colporteur s’en mêle, il aurait mieux fait de se taire.

« L’histoire d’un enfant trouvé » décrit le parcourt étonnant d’Antoine Victor Charles, un enfant abandonné à Valence. Son nom se transforma, plus tard, en Charles Charles. Il épousa, en 1837, Marie Peloux à Crupies.

Dans « Jean Charles Barnier, Gendarme Impérial de Dieulefit » nous suivons ce personnage qui fut non seulement Gendarme Impérial à Groningue mais aussi l’ancêtre de presque tous les Barnier des Pays-Bas. Après la chute de Napoléon, il revint à Dieulefit où il fonda une nouvelle famille et commença un café.

« Le sort tragique d’une boulangère de Saint Nazaire le Désert » est le récit d’Anne Farnier. On est en droit de se demander si le choix du parti qu’elle a fait pour sa fille a été judicieux. En tout cas son nom paraît dans L’Exprès du Midi du 27-09-1893, Édition de Toulouse.

A la fin de chaque récit, se trouve une annexe réunissant un arbre généalogique partiel du personnage principal et des annotations. De nombreuses cartes, illustrations et photographies parsèment les textes.
Les récits sont romancés mais les personnages principaux ont tous vraiment existé ainsi que la plupart des autres personnages mis en scène.